Chaque Québécois doit plus de 34 000 $ au provincial seulement

Vaut mieux en rire!

Avant de couper des centaines de millions dans les services, est-ce qu’on peut avoir les services ? - Michel Beaudry

19 février, 2008

Il faut ce qu’il faut!

Johanne Marcotte, vice-présidente du Groupe de travail sur le financement de la santé, rend hommage aux travailleurs qui, prient en otage entre les bureaucrates et les syndicalistes, maintiennent le système de santé à bout de bras.

Dans un contexte de gouvernement minoritaire et compte tenu des réactions des bureaucrates, de la CSN et du PQ, le rapport Castonguay ira directement sur une tablette. Malheureusement, il semble qu’à moins d’une révolution populaire les politiciens ne prendront pas leur responsabilité. Dans les circonstances, je recommande aux travailleurs de la santé de laisser sombrer le système. La médiatisation des désastres qui s’accumuleront permettra de discréditer les opposants et galvanisera l’opinion publique. Il est préférable, même si cela reste inacceptable, de sacrifier quelques individus aujourd’hui pour en sauver des milliers dans le futur.

2 commentaires:

Marioo Baloo a dit...

On ne cesse de répéter qu'il y a une pénurie de médecins et d'infirmières dans le public. Comment va-t-on combler ce manque, si on ouvre les portes du privé?

Serge Rouleau a dit...

Il n'y a pas vraiment de pénurie de ressources. Par contre, les ressources disponibles sont sous-utilisées. Cela découle d'une mauvaise organisation du travail. (Voir La clef: l'organisation du travail ci-haut)