Chaque Québécois doit plus de 34 000 $ au provincial seulement

Vaut mieux en rire!

Avant de couper des centaines de millions dans les services, est-ce qu’on peut avoir les services ? - Michel Beaudry

18 octobre, 2010

La réflexion du jour

Hélas, ce n'est pas ainsi que marche la vie. Les sentiments, les instincts, les convictions, les intérêts l'emportent toujours sur la raison pure, en politique comme ailleurs. --- Lysiane Gagnon

2 commentaires:

Sébas a dit...

Vous tirez cette phrase de Lysiane Gagnon de ce texte:

http://www.cyberpresse.ca/chroniqueurs/lysiane-gagnon/201010/08/01-4330840-une-coalition-problematique.php

Or, elle a comme prémisses ceci:

"... les Québécois ne veulent pas de l'indépendance mais ne veulent pas non plus jouer le jeu du fédéralisme, comme le prouve leur appui obstiné au Bloc québécois. Tant qu'à rester assis entre deux chaises..."

Elle devrait lire le dernier texte de Maxime Bernier (voir son blogue), intitulé;

"Mon discours au Albany Club: Restaurer notre union fédérale"

2 extraits de son discours:

"Au Canada, l’activisme gouvernemental s’est accru autant à Ottawa que dans les capitales provinciales. De façon prévisible, les planificateurs fédéraux ont décidé que pour rendre la planification centralisée plus efficace, Ottawa devait avoir son mot à dire sur toutes sortes de questions sociales, même si constitutionnellement ces questions relèvent des provinces."

et


"Depuis un demi-siècle, les Québécois ont eu le choix entre deux options extrêmes : un modèle de fédéralisme centralisé ou la séparation du reste du Canada. Aucun de ces extrêmes n’obtient l’appui d’une majorité de Québécois.

En fait, c’est un truisme depuis plus d’une génération qu’il n’y a qu’une position constitutionnelle qui pourrait rallier une large majorité de Québécois : un Québec plus autonome dans un Canada uni. Fondamentalement, ce qu’ils souhaitent est notre pays tel qu’il serait si seulement on appliquait l’arrangement constitutionnel conclu en 1867. Je suis persuadé qu’une proportion importante de Canadiens des autres provinces pourraient aussi se rallier à cette idée."

Sébas a dit...

p.s.

Lysiane Gagnon -comme beaucoup trop de chroniqueurs/d'analystes québécois-, parlent à travers leur chapeau lorsqu'ils discutent du Bloc.

Les Québécois sont minoritaires à appuyer le Bloc !

i.e. seulement environ 38%

Si on rajoute à ça, tous ceux qui ne votent pas/plus, car découragés d'habiter dans un endroit trop 'séparatiste' = ouch.